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Manque de testostérone : causes, symptômes et traitements

Manque de testostérone : causes, symptômes et traitements
Rarement, l’homme peut souffrir d’un excès de testostérone, mais c’est le plus souvent dû à une supplémentation en testostérone synthétique trop importante, pratiquée par certains hommes sportifs pour leur rôle anabolisant. „Dans ce cas, la production plage normale de testostérone chez les femmes (augredesoi.fr) spermatozoïdes peut aussi être impactée car la testostérone a alors des effets quasi ”contraceptifs”” ajoute la spécialiste. Cette hormone, produite majoritairement dans les testicules, est responsable de la croissance, de l’alimentation des os et des organes, mais aussi et surtout des fonctions sexuelles. Le dérèglement hormonal le plus courant chez l’homme est le déficit de testostérone, appelé hypogonadisme.
Quand le dosage de testostérone montre une insuffisance en testostérone chez l’homme (on parle d’hypogonadisme), une supplémentation peut être envisagée afin d’augmenter le taux mais surtout pour corriger les symptômes ayant motivé le dosage de cette hormone. Souvent comparée à tort à la ménopause chez la femme, l’andropause est une diminution de la production de testostérone. Contrairement à la ménopause, où les ovaires arrêtent leur sécrétion hormonale. Cependant, il faut prendre en compte qu’il n’est pas toujours possible de trouver la cause de la stérilité, aussi bien dans le cas des hommes comme dans le cas des femmes.
Ces changements sont toutefois bien moins spectaculaires et intenses que ceux engendrés par les fluctuations des hormones œstrogène et de progestérone chez les femmes, notamment lors de leur syndrome prémenstruel ( SPM) ou au cours de leurs menstruations. La testostérone est sécrétée par le système endocrinien, lui-même régi par l’hypothalamus et l’hypophyse. Il peut arriver que les valeurs hormonales ne soient pas altérées même s’il existe un problème qui met en difficulté la production spermatique ou la sortie des spermatozoïdes vers l’extérieur. La 5 alpha-Dihydrotestostérone (DHT) est un dérivé de la testostérone, et elle se synthétise à partir de la testostérone grâce à l’action d’une enzyme, la 5-alpha réductase, ou stéroïde-5-alpha réductase. D’autre part, la LH stimule la sécrétion de testostérone testiculaire en agissant sur les cellules de Leydig. De plus, par le biais des ABP, la testostérone peut se fixer sur le testicule et agir sur la spermatogénèse. Si après un an de tentatives la gestation ne se produit pas, il est recommandé de consulter un spécialiste pour vérifier qu’il n’y a aucun problème d’infertilité dans le couple.
Les hormones sont les mêmes chez l’homme et chez la femme, les dosages sont en revanche différents, particulièrement pour les hormones sexuelles ou définissant les caractères sexuels. Chez la femme, l’hormone lutéinisante agit sur les ovaires et déclenche l’ovulation, la prolactine stimule la lactogenese. Selon une étude publiée en mai 2021 dans Jama Network Open, de faibles taux de testostérone dans le sang sont liés à une forme plus sévère de Covid-19. Les chercheurs n’ont pas pu prouver qu’un faible taux de testostérone était une cause de Covid-19 grave mais ces niveaux pourraient servir de marqueur de certains autres facteurs de causalité.
Si l’évaluation de la testostérone est faible, elle peut indiquer un trouble de la production spermatique, comme une lésion testiculaire, ce qui peut être cause de stérilité masculine. Tout comme la FSH et la LH, la prolactine est une hormone qui est également sécrétée par l’hypophyse et est impliquée dans la fonction reproductrice masculine. Dans certains cas, il est possible d’améliorer la qualité spermatique grâce à un traitement hormonal. Pendant plusieurs décennies, le cancer de la prostate était en lien avec un excès de testostérone. Aujourd’hui, cette croyance traditionnelle est réévaluée par les scientifiques, au regard des connaissances actuelles. En effet, selon une équipe de chercheurs Suisses, aucune étude n’est parvenue à démontrer qu’une augmentation du niveau de cette hormone entraînait une augmentation de l’incidence du cancer de la prostate.
L’hypothalamus, situé dans le cerveau, est le chef d’orchestre de la régulation de certaines fonctions. Quant à l’hypophyse, c’est une glande contrôlée principalement par l’hypothalamus. Par ailleurs, le niveau normal de 5 alpha-Dihydrotestostérone (DHT) est de ng/dl. La carence d’enzymes 5-alpha réductase empêche la synthétisation de cette hormone et cause pseudo-hermaphrodisme chez les hommes, qui consiste à avoir des caractéristiques physiques féminines en étant génétiquement un homme.
Pour cela, on privilégie une alimentation variée, la pratique d’une activité physique régulière et à réduire son stress.Toutefois, cela peut ne pas s’avérer suffisant pour traiter véritablement le problème. Le déséquilibre hormonal est bien souvent associé à une problématique féminine. Il est moins évident d’en observer les symptômes puisque l’organisme masculin ne fonctionne pas de manière cyclique. Néanmoins, l’équilibre hormonal des hommes reste un sujet tout aussi important à considérer. Ces deux hormones sont impliquées dans le développement des caractères sexuels masculins, comme le développement de la masse musculaire, la barbe et le duvet corporel. C’est le médecin généraliste qui sera le premier professionnel de santé à consulter en cas de symptômes ou de simple suspicion de déficit en testostérone. « Celui-ci redirigera ensuite vers un ou plusieurs spécialistes (endocrinologue, sexologue ou urologue) qui prendront en charge ce trouble et pourront déterminer un plan de traitement approprié », poursuit le Dr Lecerf.
De plus, au niveau sexuel, cette hormone joue un rôle local dans le testicule essentiel pour la maturation des spermatozoïdes. « La testostérone reste en quelque sorte l’hormone de la sexualité et de la fertilité masculines », souligne le Pr Jacques Young. Pour cette étude, les chercheurs ont mesuré plusieurs hormones dans des échantillons de sang de 90 hommes et 62 femmes avec des symptômes de Covid-19. Chez les femmes, les chercheurs n’ont trouvé aucune corrélation entre les niveaux d’hormones et la gravité de la maladie.